Jamais sans les villageois
HELPSIMUS associe, dans le cadre du programme Bamboo Lemur, un suivi scientifique de l’espèce, la protection de son habitat, l’aide au développement des villages riverains des groupes de grands Hapalémurs et le financement de l’éducation des enfants. Ses activités sont concentrées sur une zone située près du parc National de Ranomafana au sud-est de Madagascar.
Dans cette zone vivent environ 400 Grands Hapalémurs (soit 40% du nombre de Grands Hapalémurs sauvages restant en milieu naturel) sur un territoire dégradé par la culture sur brûlis et l’utilisation massive du bambou. Ce territoire, en bordure du parc National, n’est pas préservé et les populations locales en sont largement dépendantes puisqu’ils le cultivent pour se nourrir.
La Fondation Le PAL Nature a consacrée diverses indemnités et aides, notamment aux 34 guides chargés du suivi des lémuriens. Ils travaillent par équipe de 2, 10 à 20 jours par mois. De 20 gardiens qui surveillent les rizières et prévenir des attaques de grands hapalémurs. Ils travaillent par équipe de 4 (2 le jour et 2 la nuit). Et les nombreuses cuisinières des cantines scolaires et la création des potagers. Les équipements de toutes ces personnes sont renouvelés 1 fois par an.

Un des objectifs de l’association HELPSIMUS est de résoudre les conflits de cohabitation entre les hommes et les animaux en mettant en place des actions pérennes de gestion des ressources naturelles et du territoire.
La Fondation soutient et accompagne financièrement, techniquement et humainement des projets qui, en France et à l’étranger, proposent des solutions pérennes pour répondre aux menaces auxquelles est confrontée la biodiversité, et notamment les espèces sauvages menacées ainsi que leur habitat.
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C'est l'heure des bilans pour la Fondation Le PAL Nature ! Cette année, vous avez été nombreux à participer à nos journées à thème, mais quels en ont été les bénéfices ? On vous résume tout !
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Après analyse ADN, l’aiglon Le PAL, s’avère être une femelle ! En effet, le sexage des poussins étant compliqué, une analyse génétique de quelques plumes envoyées en laboratoire permet d’obtenir un résultat sûr.
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En France, le pygargue à queue blanche nidifie sur un arbre solide dans un bois tranquille à l’abri des dérangements. Le nid est rechargé chaque année dès la fin de l’hiver, le mâle apportant la plupart des matériaux tandis que la femelle arrange le nid.